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Titre de niveau deux 

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La convention INAMI concernant l’offre de soins psychologiques de première ligne permet de renforcer l’accès de la population à ce type de soins, tant au niveau des démarches qu’au niveau du prix. Elle s’adresse plus particulièrement aux enfants, adolescents et adultes faisant partie des groupes les vulnérables de la population, notamment ceux touchés par la crise du Covid-19.

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Les psychologues cliniciens et orthopédagogues cliniciens assurent deux types d’intervention.

Premièrement, les soins de première ligne visent une amélioration du bien-être psychique du patient – pour certains ces séances représentent un premier pas vers une prise en charge thérapeutique, une porte d’entrée vers des soins psychologiques à bas seuil auxquels ils n’auraient pas fait appel auparavant ou n’auraient pas eu accès précédemment. Les séances de première ligne sont accessibles, limités dans le temps et ont des objectifs précis : accueillir la demande, dresser un tableau de la ou des problématiques présentes, renforcer le patient (diverses pratiques), orienter vers les soins spécialisés si nécessaire.

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Deuxièmement, les soins spécialisés visent à approfondir le travail thérapeutique engagé lorsque cela est indiqué : le patient et le clinicien perçoivent une nécessité de poursuivre les séances, d’aller plus loin dans l’abord de la demande ou des problématiques. Ces séances visent davantage une prise en charge plus intensive. Les séances spécialisées peuvent servir à aborder des problématiques plus spécifiques mais ici l’idée de « spécialisé » concerne le temps qui est accordé à la prise en charge (moyen et long terme).

Les deux types de soins s’inscrivent toujours dans une logique de prévention, de détection et d’intervention précoce – et de plus grande accessibilité, centré et adapté au patient.